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Arrivée à Puerto Iguazu

Nous voilà arrivés à Iguazu. C’est bientôt nos premiers pas en Argentine et la vue de l’avion nous a donné envie.

 

Sortie sans encombre, on met un peu de temps à trouver le point d’information. Une dame très sympathique nous explique que pour aller à Puerto Iguazu de l’aéroport brésilien, il suffit de prendre le bus 120 directions le centre et de s’arrêter devant l’hôtel Carima, de marcher jusqu’à la frontière (100m qui s’avèrent plutôt être 800m), de faire tous nos contrôles et d’attendre le bus. 6,40 Reals plus loin, on arrive à la frontière, c’était très simple et pas cher (environ 1€50 pour deux).

Le passage de frontière brésilien se fait facilement, nous n’avions pas perdu notre papier de sortie. Puis on attend le bus pour l’Argentine, il arrive au bout de quelques minutes d’attente (un bus toutes les 20 min environ). On paie les 8 Reals (2€) qu’il nous reste et on est parti.On a fait toutes les  banques de la ville (3), l’une était fermée, l’autre ne nous autorisait pas à retirer plus de 500 pesos (soit 30€) et l’autre 2000 avec des frais (à noter également qu’un seul distributeur sur 4 acceptait notre carte).

Au final, le conducteur nous demande de descendre avec toutes nos affaires, on comprend qu’il faut passer la frontière et qu’il nous récupère après, il faut faire vite car sur le guide du routard on avait lu qu’il pouvait repartir sans nous. On passe sans encombre, ou presque, la douane. Dans la précipitation, on a failli passer à côté de la vérification de nos sacs aux rayons X. Heureusement les douaniers nous ont rappelés à l’ordre.:) Au final, on en a eu pour 5min et on a repris le bus.

 

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On est enfin en Argentine, on s’arrête au terminus donc pas de stress et notre auberge est juste à côté. On se pause à l’auberge, un petit tour sur internet le temps de trouver les banques à proximité, il faut que l’on fasse du change ou que l’on retire, car on n’a pas un seul pesos argentin…

 Le tour de la ville est rapide et décevant, en même temps, on vient là pour les chutes, non pas pour l’architecture de la ville. La banque est pleine de monde et le point info est fermé jusqu’à 16h. On se rabat sur un petit restaurant du guide avec le wifi et la clim (oui, il fait super chaud dehors). Au moment de payer : « ah non, on ne prend que la visa », Flo, obligée d’aller retirer à la banque pendant que j’attends dans le restaurant. Au bout d’au moins 45 min d’attente, elle revient avec l’argent nécessaire pour payer le repas. C’était notre premier contact avec le système bancaire argentin et surtout pas le dernier.

On a fait toutes les banques de la ville (3), l’une était fermée, l’autre ne nous autorisait pas à retirer plus de 500 pesos (soit 30€) et l’autre 2000 avec des frais (à noter également qu’un seul distributeur sur 4 acceptait notre carte). On ne pouvait pas retirer plus de 2000 en une fois, mais on pouvait prendre 10 000 au total. C’est un bon moyen pour faire payer 5 fois les frais. C’était notre premier contact avec le système bancaire argentin et surtout pas le dernier. On a retiré le minimum pour tenir jusqu’à Buenos Aires avec l’espoir de trouver mieux.

Avant de rentrer, on passe par le terminal de bus pour acheter nos billets pour Buenos Aires (20h de bus) et ceux pour les chutes d’Iguazu. On tente nos premières négociations, mais pas simple de trouver le meilleur prix.

 

Auberge à Iguazu

Au final, on est rentré à l’auberge pour se reposer et préparer notre journée de demain.

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Matthieu
Matthieu
Voyageur dans l'âme, je me suis toujours senti à ma place partout dans le monde. Je suis aussi passionné par les nouvelles technologies. J'adore tester tous les plats typiques quand j'arrive dans un pays. Toujours à la recherche de nouvelles expériences, je partage celles que je vis à travers ce blog.

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